Stella demeurait dans son bureau plongé dans un cas toujours aussi loufoque que les autres. Rien ne la surprenait comme cas à présent à New York.

Elle lisait un dossier sur un meutre survenu en plein nuit dans Time Square, un homme déguiser en la statut de la liberté à été retrouver mort brûler, des témoins disent n'avoir rien vue, mais il y avait toujours plein de touristes, il doit forcéement avoir quelqu'un qui a prit des photos, mais rien.

Stella lisait les rapports rapporter par ses collègues, Don avait entendu un témoigna disant qu'il y avait une dispute entre la statut et un homme déguiser en super héro. Mais, il y avait aucun moyen d'avoir une description étant donner que la foule cachait souvent les gens qui pouvait être des témoins important et encore plus le meutrier lui-même.

Elle regarda des photos qu'elle avait prise, des traces de pneu l'intriguait, ce n'étais pas des pneux de voiture, ni de vélo. Stella fixa le vide se demandant ce que ses traces de pneu était. Stella sortit de son bureau et alla au commissariat pour demander quelque chose à Flack.

Elle passa la porte une fois rendu en bas et elle chercha Don du regard un dossier à la main.

Don était assis à son bureau habillé en noir depuis la mort de Jess, une tasse de mauvais café à la main et le dossier du meurtre de la statue de la Liberté, non pas la dame de bronze qui habite sur Liberty Island et qui éclaire le monde mais un acteur de rue de Time Square.

- Bonjour Stella, voici les vidéos des touristes, demande au service vidéo de les visionner peut être qu'il pourra en tirer quelque chose mais aucun touriste n'a vu, rien remarqué.

Don baille très fort.

- Désolé Stella mais c'est dans ses moments là que je m'aperçois que je n'ai plus 20 ans.

Stella souria doucement à Flack, elle le savait fragile depuis la mort de Jess, elle commencait à s'occuper de lui autant qu'elle le fesait pour Mac depuis la mort de Claire, sauf que pour Flack c'étais comme si c'était son petit frère.

-Bonjour Don, merci pour les vidéos, ils sont très apprécier.

Elle le voyait fatigué, elle s'assoya sur le coin de son bureau et elle dit:

-Tu réussis à dormir un peu au moins?

Stella avait l'impression de recommencer à zéro, mais cette fois-ci pas avec la même personne.

-Ce n'est pas avec des cafés dans le corps qu'on fait nos journée, sans avoir dormit un peu.

Don sourit, il sait que Stella est très protectrice et puis il était là lorsqu'elle a aidé Mac a faire son deuil, il connait son mode opératoire mais il l'a aidé après son agression, il connait la règle "se serrer les coudes" alors il se laisse faire mais il ne peut pas s'empêcher de la taquiner.

- Je sais maman ! Je ne peux plus, tout me rappelles Jess et se que l'on a vécu ensemble, elle est dans l'appart et ...

Il porte sa main à son coeur. Ses yeux s'embuent, il tourne la tête pour que Stella ne voit pas les larmes menaçaient de couler. Don aime se faire passer pour un dur.

- Trois ans qu'elle m'a été arraché. Qui a dit que le temps adoucit la peine.

Stella eu un petit rire en disant:

-Désolé, c'est une vielle habitude que j'ai.

Elle reprit ses airs sérieux en disant:

-Un deuil est jamais facile à surmonter, mais un jour, quand tu vas être prêt, il va falloir que tu le fasse. Tu peux pas demeurer malheureux à jamais. Je sais qu'elle te manque horriblement, et que tu en veux à la vie de te l'avoir enlever. Mais je sais que tu vas guérrir un jour, crois moi.

Stella le regarda lui faire dos, elle posa une main sur son épaule en se levant et elle dit à voix baisse:

-Il y a pas de honte à pleurer Don, j'ai vue Mac le faire et il se montrer aussi dure que toi. Des fois, laissé les émotions sortir font du bien.

Don secoue négativement la tête. Malgré, le fait qui fait parti de la grande dynastie du NYPD des Reagan-Flack, policiers depuis la quatrième génération du coté Flack et troisième du coté des Reagan coté maternelle, il a commencé et il s'est fait tout seul sans l'aide de son oncle Franck et encore moins de son père, Senior bien trop occupé par sa carrière pour se rendre compte du mal être de son fils. Il a commencé par aller dans la rue en uniforme à mettre des PV puis il est devenu détective puis lieutenant. Son grand-père maternel Henry dit toujours en plaisantant qu'il deviendra Gouverneur avant que l'on peut dire ouf. Ce qui est une plaisanterie récurrente des déjeuner dominicaux.

- Je sais, je sais mais ce n'est pas facile dans la position où je suis de me laisser aller. Stella chez les Irlandais, les hommes ne doivent pas laisser transparaître leurs émotions et puis Jess et moi nous avons enfreint les règles contre la fraternisation alors ... en faites j'ai peur de ne plus m'arrêter si j'ouvre les vannes. C'est juste atroce, je ne peux même pas confier à mon oncle ma peine.

Stella l'écouta parler et elle en baissa le regard et elle dit:

-Mais, si tu tiens à ce que tu dis, un jour ou l'autre ça va finr par sortir. Oui tu vas pleurer pendant des jours, mais au moins tu vas aller mieux.

Elle haussa les épaules en disant:

-J'aime pas te voir souffrir, car je sais ce que c'est de voir un ami important souffrir et tout garder pour sois. Tu agis pareille et je vais pas arrêter jusqu'à ce que tu finis par t'ouvrir et que tu aille mieux. Je suis têtu je sais, mais ça fait partit de moi.

Elle rajouta:

-Ce confier à la famille c'est difficile, mais à des amis ou collègues ça pourrait aider.

- Merci Stella c'est pour ça qu'on t'aime mais ne te fatigue pas à me consoler, chaque jour suffit sa peine, je vais aller chez mon grand-père Henry dès que j'ai fini mon service c'est à dire dans cinq minutes et je te promets que je vais dormir un peu. J’enchaîne les tours de service, ça va me tuer, je dois prendre quelques jours de congés ou sinon je vais finir comme mon père enchaîné à mon boulot !

Il prends un bouquin au coin de son bureau "Le grec pour les nuls".

- Tiens le voilà ça fait quelques jours que je le cherche.

Stella souria doucement, elle avait prit une habitude de s'inquièter pour tout le monde dans l'équipe. Elle joua avec son petit doigts chose qu'elle fesait toujours quand elle parlait.

-Ça va te faire du bien ce congé, et sort un peu de la ville si tu peux pour te changer les idées.

Elle rajouta:

-Le boulot peux noux changé les idées, mais parfois c'est tellement trop que ça ne change à rien, alors tu fais bien d'aller voir ton grand-père Henry.

Stella souria amusé en voyant le livre que Flack avait en main et elle dit:

-Le grec pour les nuls? Tu veux apprendre le grec?

Elle était surprise d'ailleur, c'est une langue si compliquer en plus et pas le même alphabets de la notre.

- Oui ça fait depuis quelques années déjà que je veux repartir pour l'Europe comme dans le bon vieux temps, j'ai appris le Français, j'avais envie de mettre au grec mais ce n'est pas évident.

Flack sourit.

Stella jeta un coup d'oeil au livre et elle dit:

-Tu sais que tu as meilleur que ce livre pour t'aidé avec le grec.

Elle souria amusé en disant:

-Non ce n'est pas évident, mais je peuz enfin si tu veux t'aider à le parler. Mais si tu aimes mieux un livre qu'une vraie grec pour l'apprendre je vais comrprendres.

Stella eu un petit rire en disant:

-Moi j'aimerais amélorer mon français.

Elle semblait avoir une idée derrière la tête, un sourire amusé même. Mais, elle revenu à elle en disant:

-Tu as allée en France et en Grèce ou ailleur à ton voyage?

- J'ai passé mon année sabbatique en France, à Paris, je devais faire un tour d'Europe mais je suis tombé amoureux de cette ville, alors j'ai pris un petit job et j'ai vécu en colocation avec des autres jeunes qui étaient étudiants, je suis resté en contact. Je devais réfléchir à ce que je voulais faire soit entrer à la fac, soit dans la police surtout je devais m'éloigner un peu de mes parents, de la pression familiale, ma mère n'a jamais été très contente que je m'engage et pourtant elle est fille, soeur, tante et épouse de flic, je crois qu'elle voulait que je sois procureur ou faire autre chose mais j'ai ça dans le sang alors quand Franck junior a décidé de faire comme cousin Jamie entrer dans la police, elle a fait une scène, ce que je peux comprendre, elle ne s'est toujours pas remise de ma ... blessure.
Mais tu as raison rien ne vaut une authentique Hellène pour apprendre la langue d'Aristote enfin presque.

Stella s'était prise une chaise pour être plus confortable pour l'écouter parlé.

-C'est bien que tu aie gardé contact avec eux, ça va te faire du bien de les revoirs.

Elle aimerait dire quelque chose sur les problèmes famillial, mais elle n'avait pas connu cela, alors elle ne pouvait pas lui dire quelque chose sur ça.

-Je trouve dommage que t'es lien familliaux sont difficile, c'est tellement important d'en avoir une.

Stella souria ensuite en disant:

-Oh, je connais le vieux grec, mais bon comme tu dis c'est mieux de la pard d'un Hellène.

Elle souria amusé en disant:

-Il y en a qui pense que je suis une desecendente des déesses.

- Non pas des déesses, d'une déesse et pas n'importe laquelle Aphrodite.

Il éclate de rires

- Si Mac entendait ce que je viens de dire, il piquerait une crise. Oui c'est ce que je vais sans doute faire prendre un peu de recul et partir pour l'Europe. Tu me donnes des cours de grec, je te donne des cours de français, c'est équitable non ?

Stella eu un petit rire à son compliment, elle souria ensuite pour dire:

-Tu choisis pas n'importe quel déesse en plus!

Elle rajouta:

-Mais, c'est gentil du compliment merci! Danny m'a déjà dit que parfois je pourrais être Athéna.

Ce qu'il dit ensuite à propos de Mac la fit rougir un peu et elle dit amusé:

-Oh t'inquiète, je vais pas lui dire, ça va resté entre nous deux!

Puis, suite à son idée qu'elle lui donne des cours de grec et lui de français la fit sourire encore plus. Elle trouvait l'idée super bonne d'ailleur, elle voulait tellement améliorer cette langue apprise à la petite école et un peu lors de ses cours à l'académie de police.

-C'est parfais, je te donne les cours quand tu veux et en échange je vais me mettre à parlé le français.

Stella ria en disant:

-Il faudrait le gardé secret, car j'aimerais voir la tête des autres quand on va ce croisé sur une scène de crime et que tu me parles grec et moi le français, une bonne petite blague à faire.

Elle était sérieuse dans son boulot oui, mais parfois elle laissait place à des blagues.

Stella souria en disant:

-Tu as raison pour ça, mais elle a été la déesse de la guerre si ma mémoire est bonne.

Elle souria doucement ensuit en disant:

-Super repose toi bien!

Stella se leva et avant de quitter pour monter au labo, elle dit:

-T'inquiète, je te mets au courrant.¸

Elle monta ensuite au labo pour continuer son boulot.



HJ: Quer dis tu si je ferme ce sujet et qu'on en fait un avec Mac?

OK !