J'ai sourit pendant qu'elle me poussait jusqu'à l'ascenceur.

-T'as un sacré gros bébé à t'occuper !

J'ai sourit davantage à son baiser.

Elle souria en disant:

-Tu es mon gros bébé d'amour.

Dans l'assenceur, elle appuya pour aller au 2e, ensuite, elle le reconduit à la café, elle lui prit ce qu'il avait envie de manger, de son côté elle avait prit un lait au choco avec une galette.

-Ça fait du bien je changer de position et de sortir de ma chambre en plus ! Amène-moi dehors.... je t'en supplis !

Je la regardais les yeux brillants de tendresse.

-Tu me fais jouer des faveurs toi hein!

Elle l'emmena dehors dans le petit jardin, elle l'arrêta à côté d'un banc, elle s'assoya dessus.

-Ça doit te faire du bien de sortir un peu.

-Je déteste les hôpitaux... ça pue la dedans...

J'avais grimacé.

-...Sans cet hôpital... je giserais encore sur le sol en douleur...

J'avais grimacé de nouveau.

-Je sais bien...

J'ai soupiré.

-En tout cas j'espère que Danny a trouvé le beau salaud qui m'a mit dans cet état...

-Tu veux des anti-douleurs?

Elle soupira doucement en disant:

-J'espère aussi qu'il va coincer le mec, il faudrait pas que je lui fasse un interrogatoire, car ça risque de ne pas être jolie.

J'ai haussé un sourcil.

-Tu en as avec toi... ?

J'ai acquiessé.

-Il mériterait mon poing à la figure.

-J'ai l'air d'une infirmière? disait-elle en rigolant.

Elle fit signe à une garde malade de leur apporter ce qu'il fallait, elle lui tendit ensuite avec un verre d'eau.

-J'ai les articulations endolorit... on dirait que j'ai fait du sport et que je n'étais pas en forme... C'est étrange. C'est probablement le stress et le choc qui a fait ça. C'est pour ça que j'arrive à peine à faire quelques pas.

J'ai prit les anti-douleur.

-Le soleil me réchauffe, ça fait du bien.

-C'est ce que le docteur te disais, que ton corps est en état de choc, dans deux jours tu vas pouvoir marché.

Elle souria doucement en mangeant sa galette et buvait son lait.

-Ouais, l'été arrive bientôt.

-Les petits aussi arrivent bientôt...

J'avais sourit.

-J'ai hâte... Je les veux tous les deux dans mes bras quand ils seront nés !

-Ouais, dans 4 mois.

Stella avait aussi sourit en posant une main sur son ventre.

-Tu pas juste les avoir dans t'es bras, tu vas les voirs naîtres, pendant que moi je pousse comme une folle en criant de douleur.

-Les voir naîtres, ce sera superbe.... Te voir en douleur, ça va me faire mal au coeur....

J'ai prit sa main doucement.

-Je me le serais jamais pardonné si je serais mort dans cet accident tu sais... Le mec... il a brûlé la rouge et m'a foncé dedans sur le côté conducteur... je suis chanceux d'avoir rien de grave.

-Bah c'est normal d'avoir mal, tout les femmes ont mal quand elle donne naissance à leur bébé.

Elle posa un baisé sur sa main et elle dit:

-Ne dis pas ce genre de chose, tu es vivants et c'est ce qui compte.

Elle rajouta:

-50% des neworkais brûle leur feu rouge.

-Je sais et j'aime pas ça....

J'ai baissé la tête.

-Bah c'est la réalité pourtant...

Elle soupira en passant une main sur son visage, elle savait qu'elle aurait pu le perdre, mais elle ne voulait plus y penser vue que c'étais passé maintenant.

-Hey....

J'ai tenté de me tourner un peu, mais ça m'a fait mal and je me suis replaxé comme j'étais. J'ai doucement passé mes mains dans son visage.

-Hey.... ça t'as beaucoup stressé toi.... je vais bien maintenant...

Elle le regarda en disant:

-Je sais que tu vas bien maintenant, mais arrête de le dire que tu aurais pu mourrir, je le sais ça.

-Okay...

J'avais envie de lui donner un calin.

Elle demeurait silencieuse pendant un moment, elle remarqua que son humeur allait avec l'hôpital, la fatigue, l'inquiètude et tout, elle savait que c'étais juste une mauvaise passe, que tout allait se replacer une fois revenu à la maison.

Une fois revenu à la chambre, elle mit un film sur son portable, et le regardait bien collé à lui.

J'étais confortablement bien collé à Stella.

-J'adore passer du temps avec toi... même quand je suis à l'hôpital.

Elle souria doucement à ce qu'il dit.

-J'aime être à t'es côtés aussi.

Elle posa sa tête sur son épaule.

Je collais ma tête contre la sienne... j'avais les yeux qui fermaient tout seul, épuisé. Je combattais la fatigue pour voir le film.